Le corps d’une femme et le désert de sable …. chauds, doux …
Une Chine pleine de chinoiseries, mais aussi chargée de lumières mystérieuses …
Ces animaux dans le feu de l’action qui paraissent comme dans un tableau …
Ces fleurs subtiles et élancées …
Cette cinabre qui apparait comme un mirage, et que l’on sait toxique …
Et enfin ce subtile rivage qui m’évoque ces images Japonaises de Shoji Ueda …
Toutes ces belles images sont chargées de féminité et de tendresse, j’adore. Les cadrages sont magnifiquement construits, apportant à la fois le mystère et la magie de la photo.
Mais de quelle influences Christine s’est elle construite et nourrie ? Certainement pas de celle d’un photographe homme ! ah non ! …
(une amie de notre ami Bernard Descamps)